Des femmes et des hommes, après une prise de conscience écologique, décident de changer de parcours, la plupart du temps de métier. Notre partenaire, le média Déklic, raconte leur volte-face dans un podcast spécial.
Le média en ligne Déklic publie des portraits de personnes qui ont bifurqué, elles racontent pourquoi et comment elles ont sauté le pas. Exceptionnellement, après la journée des droits des femmes du 8 mars, la rubrique « Volte-Face » est déclinée en un podcast spécial constitué de 5 épisodes, 5 histoires de volte-face. Créé en partenariat avec Impact(s) et Le Zéphyr, et enregistré dans le studio du Moment.
Par William Buzy et Philippe Lesaffre
Épisode 1 : Agnès, des ananas à l’agriculture durable
Après avoir travaillé en Amérique du sud dans l’import d’ananas, Agnès Delefortrie a complètement transformé sa vie professionnelle pour défendre la construction de filières agricoles durables. Aujourd’hui, elle accompagne les entreprises qui souhaitent « acheter ou vendre des produits alimentaires sains, qui respectent l’environnement et les humains qui les ont produits ». Elle nous raconte sa volte-face dans ce premier épisode.
Épisode 2 : Dominika, végane joyeuse
Il y a presque trois ans, Dominika Dobrocka a radicalement changé son mode de vie en devenant végane. Une volte face joyeuse, dit-elle, qui n’a pourtant pas été sans obstacles. Aujourd’hui, elle partage son expérience sur les réseaux sociaux afin d’accompagner au mieux celles et ceux qui, à leur tour, franchissent le pas.
Épisode 3 : Camille, la voie de l’arbre
Après avoir longtemps évolué au sein du secteur des médias, Camille Moulène a croisé le chemin de Marie-France Barrier, fondatrice de l’association « Des enfants et des arbres », visant à agir pour la biodiversité en milieu agricole. Une rencontre déterminante pour le reste de sa carrière. Camille retrace pour nous sa bifurcation.
Épisode 4 : Anne, du marketing à l’art du vivant
C’est à la suite de problèmes de santé qu’Anne Damesin a quitté sa carrière dans le marketing pour devenir artiste, il y a une douzaine d’années. Depuis, elle utilise le vivant qui l’entoure pour « donner à voir le fragile, l’infime, par des processus de révélation de trame végétale ». Un art qui nourrit sa conscience environnementale… à moins que ce ne soit l’inverse.
Épisode 5 : Seconde chance pour Stella
Après avoir été longtemps salariée, Stella a changé de voie pour ouvrir un café solidaire à Paris. Elle l’a nommé Efkeria, signifiant « opportunité » ou « nouvelle chance » en grec. D’origine hellène et ibère, elle a lancé cette aventure à l’emplacement de l’ancienne boutique de ses parents.