Ici, on vous parle de la COP16 de Cali, des zones à défendre, à réparer.
Paul Watson est un défenseur des baleines toujours enfermé au Groenland. Sinon, vous avez écouté le nouvel épisode d’En Forêt ?
Au sommaire de la newsletter du 25 octobre 2024
Bon à savoir Des zones à défendre partout 🫒
Dans votre bibliothèque / Le Zéphyr n°19 Découvrez le mag 🔥
En ligne « Beaucoup n’ont pas encore pris le réflexe de la réparation » 🔨
La lutte de la semaine Game over l’industrie fossile ? ✊🏼
C’est bon à savoir
Des zones à défendre partout
La Convention des Nations unies sur la diversité biologique (COP16) a débuté le 21 octobre en Colombie. L’heure est grave tant les populations d’espèces s’effondrent partout sur le globe. Le constat est alarmant, comme le rappelle le directeur de recherche au CNRS Philippe Grandcolas à France Inter.
Les États ont pris il y a deux ans des engagements pour protéger la faune et la flore, au moins 30 % des terres et des mers de la planète, et pour restaurer 30 % des écosystèmes dégradés. Ce dans le but d’enrayer ce déclin flippant. En Amérique du Sud, les chefs de gouvernement et d’Etat échangent sur ce qui a été fait (ou pas encore, hein !) et pour savoir comment on peut arriver à atteindre nos objectifs précieux (The Conversation).
Écoterroristes
Il faut poursuivre le travail d’exploration du vivant, glisse Philippe Grandcolas sur France Culture. Lui laisser de la place, se faire tout petit pour que la nature se régénère.
Défendre bec et ongles les océans, comme le raconte Lamya Essemlali dans Le Zéphyr n°12. Protéger les pôles, souligne Lydie Lescarmontier dans Le Zéphyr n°11. Les forêts aussi évidemment, elles sont fragiles, on en parlait dans le n°13.
De nombreux citoyens grimpent dans les arbres pour éviter qu’on les coupe, il convient de préserver l’existant bien sûr (En Forêt avec le GNSA). D’autres alertent pour qu’on n’oublie pas les peuples autochtones et leur environnement. Les plaines ou les montagnes (Le Zéphyr n°14). Oh oui, ce sont des merveilles en péril. Il n’y a qu’à voir ces glaciers qui fondent.
D’ailleurs, ce sera le sujet du prochain numéro en décembre. Abonnez-vous pour le recevoir.
Ah mince, on a oublié les diptères et les coléoptères. Ils disparaissent aussi, personne n’a remarqué.
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En ligne sans plus attendre
« Beaucoup n’ont pas encore pris le réflexe de la réparation, mais cela progresse »
L’association HOP, en compagnie de Make.org fondation, organise chaque année les Journées nationales de la réparation pour aider les uns et les autres à s’y mettre. On en a parlé avec Rémi Reboux, chargé de mobilisation au sein de l’association.
« Certains secteurs sont plus en avance que d’autres, comme la téléphonie ou les gros électroménagers. En ce qui concerne le retard, les facteurs sont multiples : le manque d’acteurs de la réparation sur le territoire, leur visibilité ainsi que leur notoriété sur une zone donnée. Il faut les faire connaître, ces acteurs de la réparation… »
« Il faut alerter les pouvoirs publics sur la nécessité d’avoir un droit à la réparation, celui-ci doit être absolument respecté. Les biens mis sur le marché doivent être pensés comme réparables dès le départ. Et il faut que ce soit clair pour les citoyens. »
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La lutte de la semaine
Game over l’industrie des énergies fossiles ?
On est tombés sur cet article sur Natura Sciences, qui montre à quel point les compétitions de jeux vidéo sont ciblées par les acteurs de l’industrie fossile.
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